Devenir thérapeute était enfoui en moi depuis longtemps. Dès l’obtention de mon bac, j’opte pour des études en psychologie et me passionne pour la psychanalyse.

Parallèlement, j’interviens en maison de retraite avec des personnes âgées souffrant de pathologies lourdes.

Puis je débute ma carrière auprès d’enfants de 6 à 10 ans en tant qu’animatrice.

Je crée ensuite en collaboration une association (agréée par la DDASS) afin d’accompagner des jeunes hommes de 18 à 25 ans en difficulté d’insertion socio-professionnelle.

Peaufinant mon outil d’intervention, je deviens alors monitrice-formatrice en « mécanique deux-temps » alliant accompagnement et pédagogie.

Malgré tous les dispositifs mis en place, je constate qu’il me manque « quelque chose » pour aider, véritablement, toutes ces personnes…

Prenant appui sur ma psychothérapie personnelle, je débute quelques années plus tard une formation en psychothérapie. J’intègre L’ E.F.A.P.O (Ecole Française d’Analyse Psycho-Organique) pendant 4 ans, formation pendant laquelle j’expérimente la thérapie de groupe.

J’adhère de ce fait à la charte et au code de déontologie* en APO de l’ E.F.A.P.O et suis supervisée par un pair.

J’adhère également à l’A.P.S.O.S (Association de praticiens en psychothérapie pour un soutien social) dans laquelle j’interviens comme thérapeute bénévole.

Acquérir un savoir et savoir-faire me semblait primordial pour faire faire émerger mon « savoir-être ».

* qui se réfère à l’ensemble des principes et règles éthiques (qui respectent les valeurs morales).